Comme en France, l'Italie a renouvelé ses Conseils Régionaux au printemps derniers. Contrairement à la France, les électeurs Italiens ont majoritairement voté pour les partis de droites, voir même d'extrême droite (Lega Nord de Umberto Bossi).
Le Piémont (situé au Nord) connaissait une présidente de "gauche", avec Mme Mercedes Bresso. Mais, après 5 années, les Piémontais lui ont préféré Roberto Cota, le dirigeant local de la Ligue du Nord. La différence de voix entre les 2 opposants étaient faibles, moins de 10 000 électeurs.
Mercedes Bresso et certains de ses alliés ont fait divers recours devant le TAR du Piémont (tribunal administratif), concernant la légalité des listes des vainqueurs.
Le 19 juin derniers, le Tar du Piémont donnait grandement raison aux listes de "gauche" : cela allait de listes qui avaient changé de nom, à des signatures fausses, à des logos trop proches ou des nom de liste trop proches.
Les conséquences sont incertaines : recomptage des voix, annulations des votes, et même, annulation complète de l'élection avec retour aux urnes.... Le tribunal n'a pas encore fait connaitre sa décision définitive.
Dans le laps de temps, profitant d'éventuelles remises estivales, les "candidats" - principalement de gauche - ont refait fleurir leurs noms sur les panneaux d'affichage publicitaires, dont Andrea Buquicchio, qui écrivait en juillet un malicieux "on ne sait jamais...."
Je vous tiens au courant!
Le Piémont (situé au Nord) connaissait une présidente de "gauche", avec Mme Mercedes Bresso. Mais, après 5 années, les Piémontais lui ont préféré Roberto Cota, le dirigeant local de la Ligue du Nord. La différence de voix entre les 2 opposants étaient faibles, moins de 10 000 électeurs.
Mercedes Bresso et certains de ses alliés ont fait divers recours devant le TAR du Piémont (tribunal administratif), concernant la légalité des listes des vainqueurs.
Le 19 juin derniers, le Tar du Piémont donnait grandement raison aux listes de "gauche" : cela allait de listes qui avaient changé de nom, à des signatures fausses, à des logos trop proches ou des nom de liste trop proches.
Les conséquences sont incertaines : recomptage des voix, annulations des votes, et même, annulation complète de l'élection avec retour aux urnes.... Le tribunal n'a pas encore fait connaitre sa décision définitive.
Dans le laps de temps, profitant d'éventuelles remises estivales, les "candidats" - principalement de gauche - ont refait fleurir leurs noms sur les panneaux d'affichage publicitaires, dont Andrea Buquicchio, qui écrivait en juillet un malicieux "on ne sait jamais...."
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